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Valeurs nutritives et calories Steak tartare

100 grammes de tartare de bœuf

Alors, pour faire court : on parle d’un apport énergétique de 190 Kcal. C’est assez costaud en terme de protéines avec leurs 15 grammes et ils n’ont pas lésiné sur les lipides non plus, affichant fièrement 14 grammes au compteur. Quant aux glucides, c’est plutôt symbolique avec leur petit gramme. Voilà qui pose les bases d’une alimentation ciblée, disons.

Combien y a-t-il de calories dans un steak tartare ?

D’essence mongole, le steak tartare est un mets riche d’histoire qui a évolué au fil des siècles. Bien qu’il tire son appellation de peuples guerriers anciens, ce plat s’est métamorphosé pour adopter les goûts contemporains. La préparation repose sur une base simple : de la viande crue finement hachée.

Le caractère unique du steak tartare réside dans sa flexibilité; chaque chef y va de sa touche personnelle avec des ajouts variés pouvant inclure câpres et oignons ou encore sauces diversifiées comme la Worcestershire ou le ketchup. Il en résulte une infinité de variantes possibles, rendant chaque dégustation exclusive.

En termes nutritionnels, le steak tartare est plutôt léger si on se limite à ses composants de base, avec environ 190 kilocalories aux cent grammes. Cependant, cette valeur peut grimper en fonction des accompagnements et assaisonnements ajoutés, pensez notamment à l’inclusion d’un jaune d’œuf ou à une généreuse portion de condiments sucrés.

Au-delà des calories, il faut souligner que ce plat est principalement constitué de protéines et lipides essentielles à notre organisme. Pourtant attention aux excès: noyer votre viande sous une avalanche de ketchup pourrait alourdir le bilan glucidique du repas.

Le steak tartare reste donc un classique gastronomique versatile et personnalisable selon les désirs et besoins nutritifs individuels.

Comment préparer un steak tartare selon la recette traditionnelle

Le tartare actuel est loin de ses racines. À l’époque, la viande utilisée n’était pas celle du bœuf mais plutôt celle du cheval. Les Mongols nomades, habiles cavaliers, avaient pour coutume d’assaisonner le filet de leur monture tombée au combat avec du sel. Ils plaçaient ensuite la viande sous leurs selles afin d’égoutter le sang et de conférer une légère cuisson à ce morceau grâce au frottement et à la chaleur dégagés par le cheval en mouvement.

Une fois préparé des deux côtés, ils extrayaient alors cette pièce salée pour la tailler finement et savourer sa saveur authentique. Cette tradition a évolué pour donner naissance à un plat raffiné apprécié dans nos cuisines modernes : le steak tartare, qui s’est enrichi entre-temps de divers condiments pour exciter les palais les plus exigeants.

La souche coréenne

En Corée, les amateurs de viande crue se délectent du Yukhoe, cousin oriental du steak tartare occidental. Ce mets raffiné marie habilement la fraîcheur de la viande à l’onctuosité d’un jaune d’œuf cru, le tout relevé par une touche salée de sauce soja. Les gourmands y trouvent leur compte grâce à un assortiment subtil de condiments : des graines sésames torréfiées et un soupçon d’ail haché qui chatouillent les papilles; des éclats d’oignon pour une note croquante; et l’huile de sésame qui enveloppe le palais.

Les bouches sucrées ne sont pas en reste avec un trait de poire coréenne qui apporte douceur et finesse à la préparation. Pour ceux dont les goûts penchent vers plus de fougue, il est coutumier d’introduire dans ce ballet gustatif une danse piquante sous forme de sauce relevée, juste assez pour éveiller les sens sans jamais éclipser la symphonie des saveurs originelles.

Le tartare de bœuf et la diète

Pour les individus soucieux de leur ligne, il est habituellement recommandé de privilégier des protéines peu grasses telles que le blanc de volaille. Cependant, la tradition culinaire du steak tartare, souvent associée à une viande riche en lipides, invite à modération dans sa consommation. Toutefois, en adoptant une version allégée faite à partir d’un hachis maigre contenant seulement 5% de matière grasse, il devient possible d’en jouir plus fréquemment sans culpabilité.

La vigilance reste de mise concernant l’assaisonnement qui peut s’avérer être un piège calorique insoupçonné. Pour maintenir l’équilibre du repas, mieux vaut accompagner ce mets d’une salade verte fraîche et croquante plutôt que d’options plus riches comme les frites dorées et croustillantes. En somme, la gourmandise et le bien-être peuvent faire bon ménage avec un brin de créativité et un œil attentif sur le contenu de son assiette.

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