100g de pain au chocolat :
Ce petit encas t’apporte un boost de 380 Kcal, avec une belle dose de carburants: tu trouves 44 g de sucres lents pour tenir le coup toute la journée. Côté muscles, c’est pas mal non plus : 9 g de protéines. Et pour ce qui est des matières grasses, il contient 24 g d’onctuosité. Pas mal pour tenir jusqu’au prochain repas, non ?
Nombre de calories contenu dans un croissant chocolaté
S’il fallait élire un symbole gourmand de la France, le croissant remporterait sans doute les suffrages. Ce petit bijou de boulangerie est parfait dès l’aube ou pour une pause sucrée dans l’après-midi. Toutefois, il partage souvent la vedette avec son cousin le pain au chocolat.
En parlant de fusion entre ces deux délices, le croissant au chocolat fait figure de compromis idéal. Sa recette emprunte à celle du croissant traditionnel mais y ajoute une touche gourmande : des barres de chocolat fondantes qui rendent chaque bouchée irrésistible.
Bien que ce soit un régal pour les papilles, cette variété n’est pas anodine côté calories. Avec son apport conséquent en glucides et en lipides, merci au sucre, à la farine et au beurre généreusement incorporés, c’est une petite bombe énergétique. Rien qu’un seul spécimen contient environ 237 kcal, autant dire que c’est un plaisir occasionnel à savourer sans excès !
Mythes entourant le croissant
Divers récits se disputent la paternité du croissant, cette viennoiserie de renom. Selon une tradition populaire, cette gourmandise aurait vu le jour lors d’un affrontement historique à Vienne, quand les boulangers locaux auraient déjoué une attaque nocturne des Turcs en passant par des souterrains. Pour célébrer leur triomphe sur l’envahisseur, ces artisans auraient alors créé un mets en forme de croissant lunaire, symbole présent sur le drapeau ennemi.
Une autre version situe cet épisode non pas à Vienne mais à Budapest, au cours d’une situation similaire avec les assaillants turcs pour protagonistes. Le croissant émergerait donc comme un trophée culinaire post-bataille.
Enfin, on raconte qu’un vétéran viennois fut un jour récompensé par un sac de café pour son courage au combat. Peinant à promouvoir cette boisson exotique et désirant lui trouver l’accompagnement parfait, il s’enquit auprès d’un boulanger local qui lui confectionna alors une pâtisserie inédite : le fameux croissant. Ainsi naquit-il peut-être aussi comme un hommage indirect aux adversaires vaincus par sa forme évocatrice.
Quelle que soit son histoire véritable, chaque version rend hommage à la créativité et à la bravoure humaine ayant donné naissance au croissant tel que nous le savourons aujourd’hui.
L’origine du croissant
Initialement, le croissant se distinguait par une pâte briochée moelleuse avant de s’habiller d’une enveloppe croustillante de pâte feuilletée. Évoluant dans sa forme aussi bien que dans sa composition, cette viennoiserie emblématique n’est plus cantonnée à la silhouette lunaire classique; elle arbore fièrement une allure rectiligne notamment lorsque l’on évoque le croissant au beurre. L’introduction du chocolat est venue couronner cette évolution, insufflant un supplément d’âme gustative et répondant à notre quête incessante de plaisirs gourmets.
Le croissant chocolaté et la diète
Si on s’attaque à la minceur, mieux vaut prendre ses distances avec les douceurs boulangères. Prenez par exemple le croissant au chocolat, un vrai nid à sucres et lipides qui n’arrangent pas nos affaires. Ces petits délices se métamorphosent facilement en bourrelets indésirables, vu leur haut indice glycémique.
Alors, pour ne pas sombrer dans l’appel de ces tentations sucrées, autant les zapper de notre menu quotidien. Cependant, rien ne nous empêche de les savourer de temps en temps ; une manière astucieuse d’éviter que la gourmandise devienne un péché trop amer.
Sommaire