Calories contenues dans le poulet enrobé de panure
100g de Poulet en chapelure
Une portion de ce plat apporte une belle dose d’énergie, à savoir 297 Kcal. On y trouve un bel équilibre avec 15,6 grammes de protéines pour reconstruire les muscles, ainsi que 16,3 grammes de glucides, parfaits pour recharger les batteries. Et pour finir, on n’oublie pas les 18,8 grammes de lipides, essentiels au bon fonctionnement du corps.
Apport calorique du Poulet pané
Enveloppée d’une croustillante panure dorée, la volaille frite offre un plaisir gustatif mêlant tendreté et croquant. Cette préparation se prête à toutes les coupes de poulet, des filets maigres aux ailes riches en graisse, permettant ainsi de varier les plaisirs et les apports nutritionnels. Cependant, il convient de noter que l’enrobage absorbe une quantité non négligeable d’huile lors de la friture, ce qui augmente le taux de lipides dans le plat.
Selon la pièce choisie, on observe une diversité dans le bilan calorique : opter pour du blanc signifie privilégier protéines et légèreté tandis que sélectionner des ailes se traduira par un mets plus riche. En moyenne, cette spécialité culinaire dispense environ 297 calories pour chaque portion de 100 grammes. Il est donc essentiel d’en consommer avec modération afin d’équilibrer notre alimentation tout en continuant à se délecter de sa saveur unique.
L’origine du poulet pané
Contrairement aux idées reçues, la genèse du poulet pané ne trouve pas ses racines outre-Atlantique. Son histoire plonge dans les tréfonds de l’Antiquité avec une méthode de préparation bien particulière : un bain d’huile suivi d’une cuisson au four, le tout agrémenté d’assaisonnements qui en relevaient le goût. L’appellation historique ? « Pullum Frontonianum », témoignage gastronomique d’une époque révolue.
Glissant à travers les siècles, cette spécialité s’est muée en mets quotidien, incarné par l’escalope cordon bleu, un pilier des rayons surgelés hexagonaux. Au-delà de nos frontières et dans le tourbillon du fast-food moderne, la chaîne KFC a fait du poulet pané sa signature culinaire. Des morceaux croustillants aux sandwichs gourmands, cette tradition millénaire se décline sous toutes ses formes pour régaler les palais avides de sensations fortes.
Le poulet pané : quels effets sur la santé ?
La consommation de poulet pané est souvent pointée du doigt pour ses répercussions sur l’organisme. En effet, ce mets regorge de lipides saturés, peu recommandables pour le cœur et les artères. De plus, la technique culinaire employée ici, à savoir la friture à température élevée, engendre des composés chimiques potentiellement dangereux. Ces derniers sont issus de la dégradation des acides gras et des protéines qui peuvent être impliqués dans le développement de maladies graves telles que le cancer. Il convient donc d’être prudent avec cette préparation culinaire qui, sous ses airs appétissants, cache des risques non négligeables pour notre santé.
Le poulet pané adapté à la diète
Priviliégier le blanc de poulet est souvent recommandé lorsqu’on cherche à mincir, car il se caractérise par sa faible teneur en lipides. Néanmoins, cette vertu s’amenuise lorsque la viande revêt une panure croustillante : plongée dans l’huile chaude, elle se gorge de graisse.
Qui plus est, la robe dorée qui entoure le poulet n’est pas seulement riche en matières grasses ; elle fournit également une quantité significative de sucres rapides dont l’impact sur la glycémie est non négligeable. En somme, consommer du poulet pané pourrait bien être contre-productif pour ceux et celles en quête d’une silhouette affinée.
Il convient donc d’user de modération face à ce mets trompeusement attrayant si l’on désire conserver un régime alimentaire propice à la perte de poids.
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