Apport calorique des brugnons
100g de nectarine :
Avec seulement 60 Kcal, c’est le genre de grignotage qui ne pèse pas sur la conscience, n’est-ce pas ? On parle d’un petit encas qui vous file entre les doigts sans une once de graisse, oui, vous avez bien entendu : 0g de lipides. Mais attendez, on n’a pas oublié les sportifs : il y a quand même 1g de protéines pour tenir la cadence. Et histoire de garder l’énergie au top, comptez sur 14g de glucides. Alors, prêt à croquer à pleines dents dans cette petite douceur énergétique ?
Calories contenues dans un brugnon
Issu de la même famille que les pêches, le brugnon se distingue par sa surface lisse, un noyau qui s’accroche fermement et une chair qui se décline en jaune ou blanc. Sa peau arbore des teintes chaudes allant du rouge à l’orangé. Croquer dans ce fruit, c’est aussi profiter d’un apport substantiel en vitamine C, A et en potassium, sans oublier cette profusion de micro-nutriments nichés juste sous la peau savoureuse.
Manger un brugnon, c’est opter pour une collation nutritive : on y trouve seulement 60 calories aux 100 grammes avec un bon équilibre entre protéines et glucides. Toutefois, gardez à l’esprit qu’il vaut mieux éviter le noyau qui n’est pas comestible. Si vous êtes en quête d’une touche sucrée sans culpabilité, pensez au brugnon ; il fera vibrer vos papilles tout en contribuant à votre bien-être.
Le brugnon, un rescapé de l’évolution naturelle
Selon Charles Darwin, le pelage des fruits comme ceux du pêcher serait une stratégie évolutive, décourageant les insectes nuisibles. Cette caractéristique aurait favorisé leur prolifération par rapport aux brugnoniers à peau lisse. Avec le temps, cette tendance aurait pu mener à la raréfaction des brugnoniers sans l’intervention humaine et sa pratique de sélectionner certaines variétés pour la culture. Aujourd’hui, ces deux types d’arbres fruitiers sont largement répandus grâce à cette cultivation intentionnelle.
Le saviez-vous ?
Sur certains pêchers, il arrive que l’on trouve des branches donnant naissance à des brugnons, ces fruits à la peau lisse. Inversement, un brugnonier peut parfois produire quelques pêches, reconnaissables à leur pelage duveteux. Cette particularité témoigne de la proximité génétique entre les deux espèces fruitières et de leur héritage commun. Le brugnon, tout comme la pêche, nous vient d’orient et plus précisément de Chine où il a été découvert avant notre ère. Ces délices juteux ont voyagé jusqu’à nous depuis le lointain Empire du Milieu pour enchanter nos palais et enrichir nos vergers.
Le brugnon dans le cadre d’un régime alimentaire
Le brugnon, fruit léger et faiblement calorique, s’insère parfaitement dans un régime minceur. Grâce à son indice glycémique bas, il n’incite pas au stockage de graisses contrairement à d’autres glucides plus trompeurs. Il est aussi l’allié idéal pour apaiser les fringales grâce à sa teneur en fibres, tout en préservant l’équilibre nutritionnel par ses précieux micro-nutriments.
Il est cependant important de garder à l’esprit que même les aliments sains contribuent à l’apport calorique global. Chaque calorie compte et la modération reste le maître-mot pour éviter toute surconsommation pouvant mener à une augmentation pondérale indésirable. Le brugnon ne fait pas exception ; gourmand mais mesuré, il participe avec équilibre au plaisir gustatif sans faire pencher la balance.
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