Apport calorique du cabillaud
100 grammes de morue :
Ce produit est un véritable concentré de protéines, affichant fièrement une teneur impressionnante de 19 grammes, idéal pour les muscles sans alourdir avec des sucres puisqu’il en est totalement exempt. Côté matières grasses, c’est la parcimonie qui prime avec seulement 1 gramme. Et tout ça, en ne comptabilisant qu’un mince total de 85 kilocalories. Un allié de taille pour ceux qui guettent leur ligne !
Calories contenues dans le cabillaud
Le cabillaud, habitant des eaux de l’Atlantique Nord, s’illustre comme une véritable aubaine diététique. Quand il est séché et salé, on le désigne par « morue », un nom qui résonne dans les cuisines avec tradition. Avec seulement 85 kilocalories pour 100 grammes, ce poisson se distingue par sa faible teneur en graisses et son important apport en protéines, un atout majeur pour les amateurs d’alimentation équilibrée.
Sa chair est non seulement pauvre en lipides mais aussi exceptionnellement riche en éléments nutritifs essentiels : calcium, potassium ou encore iode se disputent ses faveurs, sans parler de son apport notable en magnésium et phosphore. Par ailleurs, la fameuse huile issue de son foie regorge des précieuses vitamines A et D que l’on quête tant pour la santé osseuse et immunitaire.
Disponible tout au long de l’année chez les poissonniers comme sur les étals des supermarchés, le cabillaud fait figure d’allié incontournable pour qui cherche à conjuguer plaisir gustatif et vigilance nutritionnelle. Sa richesse en vitamine B9 achève d’en faire un partenaire privilégié dans notre quête quotidienne du bien-être.
Préparation du cabillaud
On peut accommoder le cabillaud de bien des manières: enrobé et cuit à la vapeur pour préserver sa délicatesse, ou bien gratiné pour une touche plus gourmande. Cuite au four accompagnée de pommes de terre fondantes, cette espèce se révèle aussi sous son meilleur jour. Attention toutefois à ne pas prolonger la cuisson ; sa chair tendre a vite fait de se désagréger.
Le cabillaud, c’est également ces précieux œufs utilisés dans l’élaboration du tamara, délice onctueux parfaitement adapté à l’heure de l’apéritif sur un lit de blinis chauds. En somme, le cabillaud offre un spectre culinaire vaste où rapidité et douceur sont les maîtres-mots d’une cuisine réussie.
Savoir sélectionner son cabillaud
Assurez-vous de la fraîcheur du poisson lors de votre achat. Évitez qu’il ne stagne à l’air libre, ce qui favoriserait les bactéries. Les professionnels de la pêche maintiennent leurs prises au froid grâce à des équipements adéquats, une pratique que les détaillants emboîtent le pas.
Pour distinguer un cabillaud de première qualité, observez certains signes distinctifs : une tête imposante aux nuances verdoyantes parsemée d’une moustache caractéristique; des branchies vives et propres; une peau éclatante avec des reflets métalliques. L’œil doit paraître vif et saillant, tandis que la chair doit se montrer consistante et immaculée autour de l’ossature principale.
Ne lésinez pas sur le test olfactif: une senteur fraîche et légèrement iodée est gage de qualité, loin des relents d’ammoniac qui signalent un produit altéré. Enfin, optez pour les parties dorsales du poisson qui offrent l’avantage d’être sans arêtes, un choix judicieux pour allier plaisir gustatif et confort dégustation.
Le cabillaud dans le cadre d’un régime alimentaire
Le cabillaud s’avère être un allié de taille pour les amateurs de bien-être et les sportifs. Sa teneur élevée en nutriments essentiels favorise une récupération physique optimale tout en contribuant à sculpter la silhouette. Riche en protéines, le cabillaud joue un rôle prépondérant dans la préservation du tonus musculaire.
L’apport protéique est crucial pour maintenir une masse musculaire adéquate, et avec 20g de protéines par 100g, ce poisson peut aisément remplacer certains compléments alimentaires. Il nous aide également à rester rassasiés plus longtemps, facilitant ainsi le contrôle du poids sans sacrifier notre vitalité.
Toutefois, il convient d’équilibrer son régime alimentaire afin d’éviter l’excès de métaux lourds souvent associés aux produits de la mer. Varier les plaisirs gastronomiques est non seulement bénéfique pour la santé mais aussi pour le palais.
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