Apport calorique du poisson pané
100g de poisson enrobé et cuit
C’est assez énergétique, avec ses 290 Kcal. On y trouve un bon apport en protéines, soit 23 grammes, l’idéal pour les muscles. Les glucides sont plutôt modérés, à hauteur de 9 grammes, et les lipides représentent 18 grammes, ce qui contribue à une belle source d’énergie durable.
Calories contenues dans le poisson pané
Les filets de colin ou de cabillaud, enrobés d’une croustillante couche de chapelure et dorés à point, composent le classique des assiettes : le poisson pané. Sa forme varie, adoptant tantôt l’allure ludique pour séduire les papilles juvéniles, tantôt conservant son aspect initial pour un rendu plus traditionnel.
Ancré dans l’histoire culinaire depuis l’Antiquité, ce plat a su traverser les siècles pour s’ancrer dans nos mœurs gastronomiques. Malgré sa richesse bénéfique en protéines et acides gras essentiels, il convient de noter que la panure peut souvent renfermer des graisses moins louables. Avec une teneur calorifique avoisinant les 300 kcal aux cent grammes, le poisson pané se révèle être un mets savoureux mais à consommer avec modération pour qui surveille son apport lipidique.
Fish and chips, le classique britannique du poisson frit !
Au sein des contrées britanniques et d’autres nations où l’anglais prédomine, on trouve une assiette emblématique baptisée fish and chips. Évoquant le poisson pané français par sa nature, sa confection diverge par un enrobage pas ordinaire : une pâte savamment concoctée avec de la bière, des œufs et de la farine qui lui confère une identité unique. La sélection du poisson varie grandement, incluant entre autres la morue ou le haddock.
Une fois enveloppé dans son habit doré, le filet plonge dans un bain d’huile végétale pour y cuire à perfection. Servi traditionnellement avec des frites généreuses, ce met est souvent dégusté sur le pouce. Une expérience culinaire populaire qui se vit majoritairement hors les murs de l’intimité domestique.
La qualité du poisson pané en production de masse
Il est crucial de rester vigilant face à la qualité douteuse des produits panés que l’on trouve sur le marché. Souvent, ces aliments dissimulent des matières premières inférieures qui peuvent s’avérer néfastes pour notre santé. L’origine du poisson utilisé dans ces préparations peut être issue de zones où les normes d’élevage sont laxistes et où l’on recourt parfois à des substances toxiques.
Quant au poisson lui-même, il se compose rarement de parties nobles, mais plutôt de chutes réutilisées issues de la transformation alimentaire industrielle, ce qui soulève un enjeu éthique et qualitatif.
La composition de la panure suscite également des préoccupations ; fabriquée avec des céréales souvent modifiées et agrémentée d’huiles hydrogénées potentiellement nocives pour notre métabolisme. Cela renforce l’importance de scruter méticuleusement les étiquettes lorsqu’on sélectionne ces produits en magasin.
Il est donc essentiel d’exercer un choix conscient et informé pour protéger sa santé tout en questionnant les pratiques industrielles alimentaires.
Le poisson pané est-il adapté à un régime alimentaire ?
Il existe deux variantes du poisson pané. Préparez le vôtre avec des ingrédients sains comme de la chapelure intégrale, un filet frais et un filet d’huile d’olive. Ce choix est idéal pour ceux qui surveillent leur ligne, apportant protéines et lipides de qualité sans excès de glucides. En revanche, les versions industrielles sont souvent synonymes d’une teneur élevée en matières grasses peu recommandées, regorgent de sucres ajoutés et utilisent un poisson dont la qualité laisse à désirer. Optez donc pour le fait maison pour un repas équilibré et bienfaisant.
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